La sous-alimentation et la malnutrition chez les Étudiants

La vie étudiante est souvent associée à une période de croissance personnelle, de découvertes intellectuelles et d'indépendance. Cependant, un problème souvent négligé au sein de la population étudiante est celui de la sous-alimentation et de la malnutrition. Alors que l'on pourrait penser que la vie universitaire est synonyme de festivités et de repas conviviaux, de nombreux étudiants font face à des défis financiers et à des contraintes de temps qui ont un impact direct sur leur alimentation. Cet article explore les causes de la sous-alimentation et de la malnutrition chez les étudiants, leurs conséquences sur la santé physique et mentale, ainsi que les solutions potentielles pour atténuer ce problème émergent. Près de 20% des étudiants (19%) ne mangent pas à leur faim, selon une étude menée par la Fédération des associations générales étudiantes (Fage), premier syndicat étudiant.

Cela concerne aussi bien les étudiants boursiers (28% ne mangent pas à leur faim) que les non boursiers (16%, soit un sur six). Car malgré un repas à 3,30 euros dans les restaurants universitaires pour les non boursiers et un tarif d'un euro pour les boursiers et étudiants précaires, ils jugent les tarifs trop élevés. Un étudiant non boursier sur cinq (19,1%) renonce à y manger en raison du coût. Ce qui les amène à sauter plus de trois repas par semaine (3,5). Et selon l'étude, la moitié des étudiants (49%) n'ont pas les moyens d'acheter des fruits et légumes frais chaque semaine.

Selon une enquête nationale de Linkee menée auprès d’environ 4000 étudiants bénéficiaires de ces distributions, «96,3%» d’entre eux «vivent sous le seuil de pauvreté» (1102 euros). Deux sur trois ont un «reste à vivre» de moins de 50 euros, une fois les factures payées. La quasi-totalité (97%) rognent sur la qualité et la quantité de leur alimentation, près de la moitié (43%) sautant des repas.

Causes de la sous-alimentation chez les étudiants

Contraintes financières : De nombreux étudiants font face à des défis financiers importants, souvent liés aux coûts élevés des études, du logement et des frais de subsistance. Ces contraintes budgétaires peuvent conduire à des choix alimentaires limités, privilégiant des aliments bon marché mais souvent moins nutritifs. Les prix à la consommation des produits alimentaires et boissons non alcoolisées ont augmenté de 6% entre 2010 et 2015. Avec l’inflation, les étudiants sont de plus en plus nombreux dans les files des aides alimentaires. Elles se multiplient à Bordeaux (Gironde).

Selon une enquête nationale de Linkee menée auprès d’environ 4000 étudiants bénéficiaires de ces distributions, «96,3%» d’entre eux «vivent sous le seuil de pauvreté» (1102 euros). Deux sur trois ont un «reste à vivre» de moins de 50 euros, une fois les factures payées. La quasi-totalité (97%) rognent sur la qualité et la quantité de leur alimentation, près de la moitié (43%) sautant des repas.

Manque de temps : Les horaires chargés, les travaux académiques, les stages et les emplois à temps partiel peuvent laisser peu de temps aux étudiants pour préparer des repas équilibrés. Cela peut entraîner une dépendance accrue aux repas rapides et aux collations peu nutritives.

Manque de connaissances nutritionnelles : Certains étudiants n'ont pas les connaissances nécessaires pour choisir des aliments nutritifs et équilibrés. Le manque d'éducation nutritionnelle peut conduire à des choix alimentaires inadéquats, contribuant ainsi à la sous-alimentation.

Conséquences de la sous-alimentation et de la malnutrition

Impact sur la santé physique : La sous-alimentation et la malnutrition peuvent entraîner une gamme de problèmes de santé physique tels que la fatigue, la faiblesse musculaire, la baisse de l'immunité et des problèmes gastro-intestinaux. Ces problèmes peuvent affecter la capacité des étudiants à se concentrer en classe et à atteindre leur plein potentiel académique.

Impact sur la santé mentale : Une alimentation inadéquate peut également avoir des conséquences sur la santé mentale des étudiants. Des études ont montré que la malnutrition peut contribuer à l'anxiété, à la dépression et à d'autres troubles mentaux. Le stress financier lié à la sous-alimentation peut également aggraver ces problèmes.

Solutions potentielles

Sensibilisation et éducation : Sensibiliser les étudiants aux dangers de la sous-alimentation et de la malnutrition, ainsi que leur fournir des informations sur une alimentation équilibrée, pourrait contribuer à changer les habitudes alimentaires.

Programmes de soutien financier : Les institutions éducatives pourraient envisager la mise en place de programmes de soutien financier spécifiques pour aider les étudiants à subvenir à leurs besoins alimentaires de base.

Infrastructures alimentaires abordables : Les campus universitaires pourraient offrir des options alimentaires abordables, saines et facilement accessibles pour les étudiants, encourageant ainsi des choix alimentaires plus équilibrés.

comme la votre La sous-alimentation et la malnutrition chez les étudiants sont des problèmes complexes qui nécessitent une approche holistique. En comprenant les causes sous-jacentes et en mettant en place des solutions éducatives, financières et alimentaires, il est possible de créer un environnement universitaire plus sain, favorisant le bien-être physique et mental des étudiants. [sB1] En investissant dans ces initiatives, les institutions éducatives peuvent contribuer à garantir que la vie étudiante reste une période de croissance positive pour tous.

Le Rougail Saucisse de La Réunion : Une Explosion de Saveurs Créoles dans Votre Assiette !

Bienvenue dans un voyage culinaire au cœur de La Réunion, une île où les traditions gastronomiques sont aussi riches et diversifiées que sa culture. Aujourd’hui, nous découvrons le rougail saucisse, un plat phare parmi les commandes de nos clients sur « Bon App »

Une Tradition Réunionnaise Ancrée

Le Rougail Saucisse incarne l'essence même de la cuisine réunionnaise. Né de l'héritage culinaire des différentes cultures qui se sont mêlées sur l'île (indienne, africaine, européenne et chinoise), ce plat est une fusion de saveurs, d'épices et de traditions. Les saucisses, souvent fumées pour une saveur plus intense, sont associées à une sauce tomate relevée, agrémentée d'oignons, de gingembre, d'ail, et bien sûr, du célèbre piment local, le piment cabri. Cette recette, transmise de génération en génération, est un véritable trésor culinaire réunionnais.

Avec quoi déguster le rougail saucisse ?

À La Réunion, ce rougail est souvent accompagné de ce que l’on appelle le «zembrocale », une sorte de riz coloré et aromatisé. On peut le reconnaître grâce à sa couleur jaune et au fait qu’il est souvent agrémenté de « pois », des légumineuses de la famille des lentilles. Pour relever ce plat, les Réunionnais aiment souvent l’agrémenter en plus du riz « zembrocale » de lentilles de Cilaos mais aussi de pâte de piment ou encore de rougail tomate.

Mais alors, comment déguster ce plat en métropole ?

Si vous n’avez jamais goûté à ce plat, il est peut-être temps de vous laisser tenter ! Vous n’êtes pas un grand cuisinier alors commandez directement un plat tout prêt préparé par de vrais Réunionnais passionnés sur notre application « Bon App ». Vous savez déjà cuisiner et souhaitez mettre la main à la pâte pour cuisiner le vôtre ? C’est très simple, en hexagone, tous les produits nécessaires à la réalisation de ce plat sont disponibles dans les grandes épiceries chinoises. Cependant, si vous habitez loin ou que vous ne savez pas quelle qualité choisir, vous pouvez acheter une box contenant les ingrédients les plus importants sur des sites tels que « terroirenbox.com ». Vous y trouverez les fameuses lentilles de Cilaos, la pâte piment, une douceur sucrée « les bonbons miels » pour accompagner votre repas et bien d’autres. Bon appétit zot tout ! (Bon appétit à tous !)